Sébastien Chabal a été convoqué le 12 mai devant la commission de discipline de la LNR. Invité ce mercredi matin sur le plateau de RTL, l'international regrette la polémique mais ne s'excuse pas pour autant.
Mis à pied par le Racing Métro et convoqué par la LNR le 12 mai prochain devant la commission de discipline suite à ses critiques sur l'arbitrage, Sébastien Chabal a accepté l'invitation de RTL (partenaire du club francilien) pour répondre aux questions d'Yves Calvi au matin de la sortie de son autobiographie Ma petite étoile. Jamais, il n'a été question d'excuses. Tout ce qu'il a écrit, le troisième-ligne le pense.
Des mots sortis de leur contexte
Ce dernier n'hésite pas en revanche à critiquer Le Journal du Dimanche, qui n'a gardé que la sève de l'interview publiée le week-end dernier. «Je regrette surtout ce qui est sorti dans un article d'un certain journal ce dimanche. L'arbitrage, j'en parle dans mon livre de manière bon enfant, il y en a une dizaine de pages et je crois qu'on ne peut pas sortir des mots comme ça de leur contexte. Je regrette que ça ait fait polémique. Je ne cherchais à blesser personne. Je respecte trop les gens pour ça. Je pense être quelqu'un de bien.» Certes… Rappelons cependant que Chabal accuse les clubs de Castres et Biarritz, dirigés respectivement par le nouveau (Pierre-Yves Revol) et l'ancien (Serge Blanco) président de la Ligue nationale de rugby (LNR), d'être favorisés. «Chacun à son avis. Je pense qu'il n'y a pas de mal à parler de l'arbitrage, pas de mal à dire ça», objecte-t-il sans apporter de réelles justifications.
«Le Racing me protège»
Plus prudent à l'encontre du Racing, Chabal se veut compréhensif envers son employeur. «Bien sûr que je suis agacé d'être sanctionné, d'être suspendu jusqu'à ce que la commission de discipline ait fait son travail mais je pense aussi que le club me protège pour me mettre à l'écart de tout ce qui pourrait être dit à mon sujet.» Régulièrement contesté depuis qu'il porte le maillot de l'équipe de France, certains spécialistes estimant que «Caveman» doit sa place uniquement parce qu'il fait vendre des maillots et des tickets, le joueur assume ce qu'il est : «C'est vrai qu'aujourd'hui, on peut presque dire que Chabal est une marque, même si je reste un joueur de rugby avant tout (…) Depuis 2007, j'ai la peau qui s'est un peu épaissie. Tous les six mois, je me suis habitué à ce qu'il y ait une nouvelle polémique me concernant…»
Des mots sortis de leur contexte
Ce dernier n'hésite pas en revanche à critiquer Le Journal du Dimanche, qui n'a gardé que la sève de l'interview publiée le week-end dernier. «Je regrette surtout ce qui est sorti dans un article d'un certain journal ce dimanche. L'arbitrage, j'en parle dans mon livre de manière bon enfant, il y en a une dizaine de pages et je crois qu'on ne peut pas sortir des mots comme ça de leur contexte. Je regrette que ça ait fait polémique. Je ne cherchais à blesser personne. Je respecte trop les gens pour ça. Je pense être quelqu'un de bien.» Certes… Rappelons cependant que Chabal accuse les clubs de Castres et Biarritz, dirigés respectivement par le nouveau (Pierre-Yves Revol) et l'ancien (Serge Blanco) président de la Ligue nationale de rugby (LNR), d'être favorisés. «Chacun à son avis. Je pense qu'il n'y a pas de mal à parler de l'arbitrage, pas de mal à dire ça», objecte-t-il sans apporter de réelles justifications.
«Le Racing me protège»
Plus prudent à l'encontre du Racing, Chabal se veut compréhensif envers son employeur. «Bien sûr que je suis agacé d'être sanctionné, d'être suspendu jusqu'à ce que la commission de discipline ait fait son travail mais je pense aussi que le club me protège pour me mettre à l'écart de tout ce qui pourrait être dit à mon sujet.» Régulièrement contesté depuis qu'il porte le maillot de l'équipe de France, certains spécialistes estimant que «Caveman» doit sa place uniquement parce qu'il fait vendre des maillots et des tickets, le joueur assume ce qu'il est : «C'est vrai qu'aujourd'hui, on peut presque dire que Chabal est une marque, même si je reste un joueur de rugby avant tout (…) Depuis 2007, j'ai la peau qui s'est un peu épaissie. Tous les six mois, je me suis habitué à ce qu'il y ait une nouvelle polémique me concernant…»
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