Le "Fou chantant" avait fait de son secrétaire particulier Georges El Assida, son unique héritier, au grand malheur de deux de ses proches, son neveu et sa demi-sœur. Tous les deux avaient donc saisi la justice civile, pour dénoncer et faire annuler le testament. Selon eux, l’homme aurait dicté le testament au chanteur, sous la contrainte, en 1999, deux ans avant sa mort. Or, le tribunal les a déboutés, estimant qu’aucune preuve de "manœuvres dolosives" n’avait été apportée.
Le tribunal a, dans le même temps, déclaré irrecevable l’action de Michel Paradis, sexagénaire québécois qui affirme lui être le fils caché du chanteur, et s’était du coup joint à la procédure.
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