Une explosion a ébranlé, le 2 janvier, les quartiers sud de la capitale libanaise Beyrouth, bastions de l'organisation chiite du Hezbollah. Cinq personnes auraient été tuées par la déflagration. Cette attaque vient compléter la longue liste d'attentats meurtriers qui ravagent le pays depuis quelques mois.
C’est la quatrième attaque visant le Hezbollah chiite depuis juillet. Cinq personnes ont été tuées dans un attentat à la voiture piégée, jeudi, dans la banlieue sud de Beyrouth, selon «L’Orient du Jour.» Le nombre de blessés est encore indéterminé. La télévision a montré les restes disloqués et carbonisés de plusieurs voitures et les pompiers cherchant à éteindre les flammes. La déflagration, qui s’est produite à «200 mètres du Conseil politique du Hezbollah», a également endommagé la façade de plusieurs bâtiments.Une explosion a ébranlé, le 2 janvier, les quartiers sud de la capitale libanaise Beyrouth, bastions de l'organisation chiite du Hezbollah. Cinq personnes auraient été tuées par la déflagration. Cette attaque vient compléter la longue liste d'attentats meurtriers qui ravagent le pays depuis quelques mois.
C’est la quatrième attaque visant le Hezbollah chiite depuis juillet. Cinq personnes ont été tuées dans un attentat à la voiture piégée, jeudi, dans la banlieue sud de Beyrouth, selon «L’Orient du Jour.» Le nombre de blessés est encore indéterminé. La télévision a montré les restes disloqués et carbonisés de plusieurs voitures et les pompiers cherchant à éteindre les flammes. La déflagration, qui s’est produite à «200 mètres du Conseil politique du Hezbollah», a également endommagé la façade de plusieurs bâtiments.La capitale libanaise a connu une série d'attentats à la bombe ces derniers mois, dont un qui a coûté la vie la semaine dernière à Mohamed Chatah, ancien ministre et adversaire du Hezbollah. Ce proche conseiller de l'ancien Premier ministre sunnite, Saad Hariri, se rendait à une réunion lorsque son convoi a été la cible d'une attaque. Les membres du clan Hariri avait accusé le Hezbollah d’avoir fomenté l’attaque contre Mohamed Chatah, ce que le mouvement chiite nie. Cet attentat a aussi exacerbé les tensions entre les communautés chiite du Hezbollah et sunnite, défendue par Saad Hariri.
Un pays touché par le conflit syrien
Profondément divisé sur la question du conflit en Syrie, le très influent voisin, le pays est privé de gouvernement depuis huit mois. Comme le rappelle «L’Orient du jour», cet attentat intervient peu après l’annonce de l’arrestation présumée de Maged al-Maged, chef saoudien d'un groupe islamiste lié à Al-Qaïda. Ces Brigades avaient revendiqué le double attentat-suicide perpétré en novembre contre l'ambassade d'Iran à Beyrouth et averti que «les attentats se poursuivraient au Liban tant que le Hezbollah continuerait de combattre les rebelles en Syrie».Source: Paris Match
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